A cyclic and playful meditation, Vivarium is a poetic allegiance to the unsung life persisting everywhere. You are invited to visit a site where four artists give their attention to detail, bending to weeds, bricks, and bugs. Two dancers oscillate limbs and torsos like coleopteras or heliotropic plants — they jostle, camouflage, and compost. A musician plays field recordings, weaving a soundscape. A scenographer creates a pop-up garden from found objects. In the lee of linear time, Vivarium both colonizes and pollinates, engenders and contaminates pre-existing ecologies.
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Méditation ludique et cyclique, VIVARIUM s’allie à la vie sous-estimée qui persiste partout. Le public visite un chantier créatif sur lequel quatre artistes se penchent vers les riverains, les fourmis, les briques et les pissenlits. Deux danseuses oscillent bras et troncs comme des scarabées ou des héliotropes — elles piétinent, se cachent et se compostent. Un musicien joue des enregistrements réalisés sur le terrain et crée un paysage sonore. Une scénographe réalise un jardin d’objets trouvés. À l’abri de la vitesse, Vivarium colonise et pollinise, engendre et contaminent l’écologie existant.
About the Artist
Lucy M. May is a contemporary dance artist, teacher, and writer based in Montréal. She is attracted to the porousness of collaboration and the vastness of dancing. Currently, her performances ask how geo- and bio-social environments thread their way through human movement. She deepened this research in her native province of New Brunswick during the artistic residency Esemplastic Landing, hosted by Atlantic Ballet. Lucy imagines her moving body as a meeting place, where theories and conversations find confluence with what is local, sensual, or tactile.
From 2009 to 2016, Lucy was a member of Compagnie Marie Chouinard. She is an affiliate of Margie Gillis’s Legacy Project. Lucy studied at l’École de danse contemporaine de Montréal and Codarts in The Netherlands.
Ă€ propos de l’artiste
Artiste en danse contemporaine, enseignante et écrivaine Lucy M. May s’est établie à Montréal en 2003. Présentement, ses performances questionnent comment les environnments géo- et bio-sociaux se tissent au mouvement humain. Sa recherche s’approfondit au Nouveau-Brunswick, sa province natale, lors de la project de résidence artistique Esemplastic Landing, appuyé par Atlantic Ballet. Elle imagine son propre corps mouvant comme un lieu de rencontre, là où théories et conversations confluent avec le proximal, le tactile, le sensuel.
Lucy était membre de la Compagnie Marie Chouinard de 2009 à 2016. Elle est artiste affiliée au Projet d’héritage de Margie Gillis. Lucy a étudié à l’École de danse contemporaine de Montréal et Codarts aux Pays-Bas.